Have a break, have a chut-chut-pas-de-pub
Parce qu’on ne peut pas tout le temps ne parler que de sérieuseries (quoique mon post sur Judas m’a attiré pas mal de lecteurs, eh eh :-D), voici quelques nouvelles de ma pomme personnelle.

C’est le retour du beau temps!

Ceci dit les pauv’ petits étudiants de Master-2 comme moi n’ont que peu l’occasion d’en profiter (voire même pour certains de s’en rendre compte, j’en ai peur). Passant leurs journées enfermés dans leur chambre, assis devant leur ordinateur, à [essayer de se motiver pour] rédiger ce *£#!%$ de mémoire qu’il faut théoriquement rendre d’ici deux mois tout pile maintenant. Même plus la ressource d’aller à l’université une ou deux fois par mois, histoire d’entendre parler en cours d’autres auteurs que ceux sur qui on passe nos journées – et aussi de revoir les copains –, vu que la fac d’Aix



...est toujours "occupée", et ce aux dernières nouvelles jusqu’à début mai (au moins). D’ailleurs entre parenthèses soit dit, entre ce qu’ils en disent aux infos, ce que m’a affirmé un membre du personnel administratif (de la B.U.), et ce que m’a dit une amie étudiante (que je soupçonne, vu le discours qu’elle m’a tenu, d’être du côté des "bloqueurs"), impossible de savoir si la fermeture de la fac est le fait des étudiants grévistes, de la direction même de l’université, voire des "anti-bloqueurs" (allez savoir, vu le bor... hem, Bronx actuel), ou peut-être d’un peu des trois à la fois. Quoi qu’il en soit, et comme dirait Lebrac, on n’est pas sorti de l’aubergine.

Histoire de ne pas fondre un fusible (et d’offrir une après-midi de repos à l’ordinateur, qui sinon va finir par fondre lui aussi...), hier avec Mélanie et Audrey nous nous sommes organisé un petit break. Rendez-vous était pris devant la Bibliothèque de l’Alcazar à Marseille.

Ben croyez-le ou non, je n’y avais jamais mis les pieds! J’en ai donc découvert la façade



et une partie de l’intérieur



J’ai aussi découvert les joies des "contrôles" à l’entrée: on se croirait dans un tribunal, ils font ouvrir les sacs et tout... Encore si c’était à la sortie, pour vérifier que tu ne te barres pas avec un bouquin, à la limite, mais à l’entrée? Ils craignent quoi exactement?

En fait je suis arrivé en retard... et mon téléphone portable était (encore) tombé en rade... et comme Audrey, qui venait d’Aix en bus, était encore plus en retard que moi... Mélanie a poireauté quelques temps devant la bibliothèque sans voir ni pouvoir contacter personne, en se demandant si elle ne s’était pas planté dans le rendez-vous... qu’elle avait elle-même organisé! :D

Une fois que nous nous sommes retrouvé, nous avons pu nous diriger vers le Centre Bourse ou, après un petit détour par la Fnac où Audrey cherchait un livre (décidément vous saurez tout...), nous avons pu nous attabler et nous poser quelques temps pour partager notre désespoir généralisé face aux avancées chaotiques de nos travaux. :D (je déconne... quoique...)



Depuis le temps que c’était prévu qu’on se retrouve à ce genre de tables!

Car entre le peu de cours et de toute façon leur impossibilité matérielle depuis quelques semaines maintenant... j’avais bien revu Audrey la semaine dernière à la B.U. (ouverte en "accès restreint" pour ceux qui préparent des concours et les Master-2 section recherche), et avant ça en janvier pour son anniversaire, mais Mélanie je l’avais plus vu depuis décembre... l’an dernier quoi! :D

Bref ces petites retrouvailles furent très sympathiques et permirent de s’aérer un peu l’esprit en même temps que de prendre un bain d’air frais...

Bon allez la pause est finie! Maintenant si je veux avoir une chance de rendre [au moins un de] mes deux mémoires à la date prévue, sans passer mon prochain séjour à Paris UNIQUEMENT à boucler ça en catastrophe, je retourne au boulot.

En fait le coup c’est que fin mars j’ai envoyé la première partie de mon mémoire à ma prof (Mme K***)... sauf que juste après je suis parti une semaine à Paris et qu’à mon retour Mme K*** était, elle, partie pour plusieurs semaines vers les Amériques, pour participer à un colloque au Québec et je suppose faire aussi autre chose, vu le temps qu’elle y a passé, mais ça la regarde (elle m’avait dit qu’elle devait aussi prendre contacts avec des chercheurs aux States, bon, bref...). Le problème c’est que ça fait plus d’une semaine qu’elle est rentrée maintenant et que, malgré le mail que je lui ai envoyé sous prétexte (fort utile au demeurant) de lui communiquer ma nouvelle-adresse-courriel-suite-à-changement-de-FAI, ben j’ai toujours pas de nouvelles... Donc ne sachant pas ce qu’elle pense de mon boulot, je ne sais pas trop si je peux continuer pour la seconde partie, si je peux me permettre de faire les changements que je voulais faire dans ce que je lui ai déjà rendu, etc.; c’est légèrement galère...

Allez une dernière petite image (aixoise) du printemps, pour finir sur une note ensoleillée... ;-)