13.9.05

Quand on a pas de titre… on plagie Hervé

Mon humeur du moment ça pourrait être ça :

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voire ça :

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et puis n’y allons pas par quatre chemins, ça :

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Bon comme "humeur" c’est féminin (la preuve : l’adjectif après, c’est "massacrante"), j’aurais aussi pu choisir ça :

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ou

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...euh non pas ça !!! :D (oui d’accord j’avoue j’ai un peu fait un tour dans mes fichiers de mon site web sur le cinéma, en même temps depuis plus d’un an et demi que je l’ai pas mis à jour, faut bien que ça me serve à quelque chose en attendant une hypothétique réouverture future sous une autre forme... hum bon revenons à nos moutons.)

DONC j’aurais pu être aujourd’hui d’une humeur un tantinet grognonne eût égard au fait que cet après-midi je suis reparti bosser chez mon ******* de patron-adoré. Résumé pour ceux qui ne sont pas au courant et qui n’ont pas envie de partir fouiller dans les archives : mon patron est un con. Vous me direz on en croise tous les jours, oui, mais il y en a de différentes sortes et, parmi icelles (ouh difficile à prononcer ça !), certaines moins supportables que d’autres. Le problème est qu’après m’avoir laissé deux mois sans nouvelle (il m’avait dit qu’il me recontacterait quand il aurait besoin de moi), mon patron diaboliquement con a eu l’idée retorse de se décider brusquement, à me payer tous les mois le même salaire – alors qu’auparavant j’étais payé en conséquence des heures de travail effectuées – et que si je ne faisais pas le nombre d’heures prévu ben je les rattrapais au mois suivant, par exemple (en gros pendant deux mois il veut pas me voir, mais après je suis sommé de lui consacrer une semaine entière quand il se rend compte qu’il a besoin de moi). Ah oui mais là je crois que cette année mes horaires de cours vont pas correspondre aux horaires où il a besoin de moi (oh la bonne excuse)...

Bon sérieusement si je suis pris à la B.U. je ne peux déontologiquement – ni d’ailleurs légalement – pas travailler à côté. Donc il faut que d’ici la fin du mois de septembre j’ai fait toutes les heures que « je » lui « dois » pour pouvoir ensuite me barrer avec élégance... Et si jamais la B.U. ne me prend pas ?

M’en fout !! Je donnerai des cours particuliers !! Je me barre, j’en peux plus
- de lui
- des membres de sa famille qui squattent le laboratoire en se prenant pour les maîtres des lieux
- de sa façon de copiner avec les employés pour ensuite les traiter comme des esclaves dès qu’il y a le moindre problème
- de ses blagues machistes
- de ses blagues racistes
- de sa façon de toujours trouver normal de faire ce qu’il interdit catégoriquement à ses employés de faire
- de sa façon de toujours rendre les autres responsables de ses erreurs
- de la paranoïa ambiante (oui car si son affaire coule... c’est forcément de la faute des autres... donc c’est qu’on lui veut du mal... les employés sont tous des salauds et des traîtres en puissance)

Fuir ! là-bas, fuir ! je sens que les oiseaux sont ivres
D’être parmi l’écume inconnue et les cieux !

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...Ceci dit les plus perspicaces d’entre vous auront noté l’emploi du conditionnel dans la première phrase de ce post. Je ne suis donc pas tout à fait, quoi qu’on puisse en penser à la lecture des phrases précédentes, d’une humeur aussi noire que j’aurais pu (que j’aurais été en droit de ?) l’être.

Car je viens de recevoir un appel de Sophie !!! :-)

Comme quoi, à quoi ça tient une journée réussie...

Mais qui est Sophie ? s’écrient silencieusement certains d’entre vous.

Bon allez la prochaine fois je m’étendrai (avec ô combien de délectation) sur la présentation du personnage, mais si je ne veux pas poster jeudi ou vendredi le récit de mon après-midi du lundi faut que je m’arrête ici (jolie suite d’assonances en i). Mais pour l’instance je fais durer le faux suspense…