Quand Claire fait la une (enfin, la page 4 !)

Claire travaille depuis un peu plus d’une semaine au journal La Marseillaise. Et jeudi elle m’envoie un texto pour me dire d’acheter le numéro du lendemain… mais sans me dire pourquoi. La seule indication a laquelle j’ai eu droit : « c’était purement professionnel » ! (indication qui sera commentée comme suit quelques jours plus tard : « j’ai préféré le préciser avant plutôt que tu ne fasses une crise cardiaque après »).

J’ai pas pu avoir le journal dès vendredi car je suis parti à Aix pour profiter du dernier jour d’ouverture de la bibliothèque universitaire avant septembre pour y déposer une demande de travail pour l’an prochain et accumuler la dernière documentation dont je pourrais avoir besoin pour boucler mon mémoire. Je n’étais d’ailleurs pas seul dans ce cas puisque j’y ai croisé Ségolène et Maud… Quand la B.U. a fermé ses portes à 17h, on est allé boire ensemble à l’Aquarium… On a parlé de tout et de rien : littérature… partiels… plans de carrière !… :D

En fait on attendait tous quelqu’un ! Moi j’attendais Marie que je devais emmener à l’anniversaire de Pascal. Je lui avais dit de me téléphoner quand elle arriverait à son studio, ce qui était prévu vers six heures moins le quart / six heures. A 18h10 elle me téléphone : « euh en fait je quitte à peine le boulot là !... » Bilan on est arrivés à Marseille avec presque une heure de retard. Après quoi :







Elizabet et ses problèmes d’alcool (elle va vouloir me tuer :D) :





Et vive Léo, l’Etre de Lumière ! (réalisé sans trucage)



Je vous épargne la vidéo d’Anne en train de danser… celle-là elle circulera uniquement dans certaines cercles !

Bon avec tout ça j’avais toujours pas vu la Marseillaise de vendredi… C’est donc avec 24 heures de retard (heureusement que je ne m’appelle pas Jack Bauer) que je découvrais ceci :



Par la suite elle m’a expliqué que faute de photos en stock pour illustrer l’article, la photographe les a emmenés elle et un stagiaire poser du côté de Dromel. Je vais pas jouer les jaloux… d’autant que c’était le temps de quelques photos… et que le dimanche on est partis tous les deux dans un camping près du Verdon ! :D

Je passe sur les détails. Sur les points négatifs parce que malgré tous les désagréments que j’ai pu rencontre il y a quand même du bon à passer du temps en tête à tête dans des endroits comme ça :







Sur les points positifs parce que... c’est privé ! (et non ça ne se résume pas à ce que vous pensez, bande de pervers à l’esprit mal tordu).

A un moment on était dans une sorte de micro-calanque :



quand un couple de cygnes a débarqué :



Ils doivent avoir l’habitude des touristes car ils ont traversé d’une rive à l’autre droit sur nous quand ils nous ont vu… mais quand nous on a vu qu’ils arrivaient le bec grand ouvert… et qu’on avait à rien à leur donner à manger à part nos doigts de pieds… on s’est un peu éloignés du rivage ! :D C’est que c’est grand un bec de cygne !

On doit la phrase du week-end au petit-cousin de Claire. (Oui car le deuxième jour on a été rejoints par sa tante Marthe, sa petite-cousine et son petit-cousin.) La petite-cousine était dans une journée « je vais casser les pieds à tout le monde pour bien leur rappeler que j’existe ». A un moment, chaque fois que Marthe lui disait quelque chose, elle répondait par : « et si… », et si ceci, et si cela, et Marthe de finir par répliquer : « Et si ma tante en avait, on l’appellerait mon oncle ! » :D Sauf que le petit-cousin ne comprenait pas de quoi il s’agissait ! « Si elle avait quoi ?... » Alors on essaye de lui faire comprendre… nada. La tante essaye : « Bon, réfléchis, qu’est-ce que tu as que je n’ai pas ? »

Le gamin réfléchit puis propose :
« Des lunettes !! »

On est tous restés pliés de rire pendant cinq minutes. Un blog est parfois faits de petits bonheurs simples !